Le vaccin financé par la Fondation Gates à l’origine d’une épidémie de polio en Afrique.
L’ONU forcée d’admettre que le vaccin financé par la Fondation Gates est à l’origine d’une épidémie de polio en Afrique.
Ce devrait être l’un des plus grands scandales de santé publique de la décennie, mais au lieu de cela, on lui accorde peu d’attention, principalement en raison de la grande visibilité des personnes et des organisations impliquées.
Les Nations Unies ont été obligées d’admettre qu’une initiative internationale majeure en matière de vaccins provoque en fait une épidémie mortelle de la maladie qu’elle était censée éradiquer.
Alors que des organisations internationales comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se vantent régulièrement d’avoir « éradiqué la polio » grâce aux vaccins, il semble que ce soit le contraire qui se produise, les vaccins ayant causé la mort de dizaines de jeunes vivant en Afrique.
Les responsables de la santé ont maintenant admis que leur plan pour mettre fin à la polio « sauvage » se retourne contre eux, car de nombreux enfants sont paralysés par une souche mortelle de l’agent pathogène dérivé d’un vaccin vivant, ce qui provoque une vague virulente de polio.
Cette dernière pandémie d’origine pharmaceutique a débuté dans les pays africains du Tchad et du Soudan, le coupable ayant été identifié comme étant le virus de la polio de type 2 dérivé d’un vaccin.
Les autorités craignent désormais que cette nouvelle souche dangereuse ne « saute les continents » et ne provoque d’autres épidémies mortelles dans le monde entier.
Aussi choquant que cela puisse paraître, cette débâcle des Big Pharma n’est pas nouvelle. Après avoir dépensé quelque 16 milliards de dollars sur 30 ans pour éradiquer la polio, les organismes de santé internationaux ont « accidentellement » réintroduit la maladie au Pakistan, en Afghanistan et en Iran, la région d’Asie centrale ayant été frappée par une souche virulente de polio engendrée par un vaccin pharmaceutique. De plus, en 2019, le gouvernement éthiopien a ordonné la destruction de 57 000 flacons de vaccin oral contre la polio de type 2 (mOPV2) à la suite d’une épidémie similaire de polio provoquée par le vaccin.
Le même incident s’est également produit en Inde.
Il est également important de noter que le vaccin oral contre la polio est encouragé par l’initiative mondiale pour l’éradication de la polio (GPEI), un consortium qui est soutenu et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.
Tout cela devrait être préoccupant, surtout avec les gouvernements occidentaux et les géants pharmaceutiques transnationaux qui se précipitent tous pour déployer leur nouveau vaccin expérimental contre le coronavirus financé par la Fondation Gates pour la population mondiale.
Actuellement, le premier vaccin expérimental de la COVID-19 est testé sur la population africaine par le biais de l’Alliance GAVI pour les vaccins, une autre organisation financée par la Fondation Gates. Une vaste série d’essais sur l’homme est en cours en Afrique du Sud, sous la direction de l’université du Witwatersrand à Johannesbourg, une autre institution financée par la Fondation Gates.
Cette dernière révélation africaine devrait inciter les journalistes et les défenseurs de la santé à poser des questions plus pointues sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin « miracle » contre la COVID, dont on parle beaucoup.