MALI 🇲🇱 31 SOLDATS TUÉS : Au nom de la LDNA, nous adressons nos condoléances les plus attristées à toute la nation malienne, aux Famas.

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Au nom La Ligue de Défense Noire Africaine ( LDNA ) mouvement, Révolutionnaire pour la Défense des Droits des africains et des afrodescendant, Anti-Imperialisme , Anti-néocolonialisme luttant contre la Négrophobie et le racisme:


MALI : Nous Condamnons fermement L’attaque ignoble,  qui a eu lieu à Tessit, lundi 15 mars contre les Famas au sud-ouest d’Ansongo, près des frontières avec le Burkina Faso et le Niger. Embuscade tendue par une centaine d’hommes faisant plus de 30 soldats maliens tués.


Au nom de la LDNA, nous adressons nos condoléances les plus attristées à toute la nation malienne, aux Famas, mais également aux familles épleurées. Nos sincères vœux de prompt rétablissement aux militaires blessés.

Mali : plus de 30 soldats tués dans une attaque attribuée à des djihadistes

La relève est tombée dans une embuscade tendue par une centaine d’hommes dans la zone des « trois frontières », non loin du Niger et du Burkina Faso.


Au moins 31 soldats maliens ont été tués dans le nord-est du pays, lundi 15 mars, dans l’attaque la plus meurtrière attribuée à des djihadistes contre les forces maliennes cette année, selon un nouveau bilan obtenu mercredi de sources militaires et locale. Un précédent décompte de l’état-major faisait état de onze morts, onze disparus et quatorze blessés.

Ce bilan n’a cessé de s’aggraver depuis un premier communiqué publié tard lundi, plusieurs heures après l’attaque menée en milieu de journée contre la relève du poste de Tessit, au sud-ouest d’Ansongo, près des frontières avec le Burkina Faso et le Niger. Il pourrait s’alourdir encore, d’autres sources citant des pertes encore plus grandes dans les rangs de l’armée, qui a vu des centaines de ses hommes mourir de la sorte ces dernières années.


La relève est tombée dans une embuscade tendue par une centaine d’hommes à bord de pick-up et sur des motos, selon un récit fait antérieurement par l’armée sur les réseaux sociaux.

« Le nouveau bilan est de 31 militaires maliens tués. Les blessés ont été transportés à Gao pour des soins », a indiqué à l’AFP un commandant local s’exprimant sous le couvert de l’anonymat en raison de ses contraintes hiérarchiques : « Dans les rangs des terroristes, on a retrouvé treize morts sur le terrain et ils sont repartis avec d’autres corps. » Un document officiel que l’AFP a consulté rapporte 33 morts et 14 blessés. Un élu local a évoqué, sous le sceau de l’anonymat, 34 soldats tués.

Une tourmente multiforme

Depuis 2012 et le déclenchement de rébellions indépendantiste puis djihadiste dans le nord, le Mali est plongé dans une tourmente multiforme qui a fait des milliers de morts, civils et combattants, et des centaines de milliers de déplacés, malgré le soutien de la communauté internationale et l’intervention de forces de l’ONU, africaines et françaises. La crise s’est propagée au Burkina Faso et au Niger.

Lundi, 58 personnes ont été tuées dans l’ouest du Niger dans des attaques attribuées à des djihadistes contre des civils de retour du marché et contre un village à une centaine de kilomètres du Mali, dans la même zone dite des « trois frontières ». Cette région, théâtre d’actions sanglantes de groupes armés affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation Etat islamique (EI), a fait l’objet après janvier 2020 d’un important effort militaire de la force française « Barkhane » et de ses partenaires sahéliens, spécialement dirigé contre l’organisation Etat islamique au Grand Sahara (EIGS). La France revendique d’avoir considérablement affaibli l’EIGS, tout en frappant aussi durement Al-Qaïda et ses affiliés, également actifs au Sahel.

Le secteur d’Ansongo, où a eu lieu l’embuscade de lundi au Mali, est plutôt considéré comme le champ d’action de l’EI. Dans le centre du pays, autre foyer des violences qui ensanglantent le Sahel, dix soldats maliens avaient été tués le 3 février dans l’attaque de leur poste à Boni. L’opération avait été attribuée par un organe de propagande d’Al-Qaïda au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), alliance djihadiste affiliée à Al-Qaïda.

#FreeMali

Fait Ă  paris le 18 /03/2021

La ligue de défense noire africaine.

Source: AFP

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