Azerbaïdjan 🇦🇿 : Egountchi Behanzin, le fondateur de la Ligue de défense noire africaine (LDNA), et le président de la Nidem au Mali, ont rendu visite à la Fondation internationale de la presse eurasienne (BAMF).

EDnews informe que le président de la Fondation internationale de la presse eurasienne, Umud Mirzayev, a accueilli les invités au siège de BAMF et leur a présenté les conditions créées dans le bureau. Les invités se sont familiarisés avec les activités de l’organisation et en même temps, le sujet du conflit du Karabakh, qui est l’une des questions les plus prioritaires à l’ordre du jour de l’Azerbaïdjan, a été abordé. Umud Mirzayev a parlé aux invités du Mali et de la France de nos compatriotes qui ont été tués et déplacés à la suite des atrocités arméniennes dans les années 90 et de nos régions qui ont été détruites et occupées.

Dans la cour de BAMF, les invités se sont familiarisés avec des photos et des stands qui reflètent clairement le conflit du Karabakh et les dommages qu’il a causés à l’Azerbaïdjan.

Les invités, tour à tour, ont évoqué les atrocités commises par la France contre les peuples africains. Ils ont dit que le point commun des deux nations est qu’elles ont toujours fait l’objet de génocides et de massacres : “Beaucoup de pays africains sont des colonies françaises. Jusqu’à présent, la torture brutale du gouvernement français contre les peuples africains se poursuit. Nos organisations subissent les attaques et la pression de la France.

Nous ne pouvons pas transmettre notre vraie voix au monde. Le gouvernement français essaie de supprimer notre voix. Dans cette direction, nous voulons coopérer avec BAMF et utiliser votre aide pour faire entendre notre voix dans le monde.”

Le président de l’organisation, Umud Mirzayev, a souligné que la France a toujours tendu la main aux colonialistes. “La France a toujours soutenu les envahisseurs, mais maintenant elle essaie de s’éloigner des pays africains et de venir dans le Caucase sous le nom d’un artisan de la paix et de mettre en œuvre sa politique d’occupation ici aussi. C’est pour ces raisons que nous devrions ensemble essayer de transmettre notre vraie voix au monde. Nous sommes prêts à coopérer plus étroitement avec vous dans cette direction.”

À la fin, une photo commémorative a été prise avec les invités.

Source: Ednews